dès le début on se dit : « Y a quelque chose qui cloche »


On se plonge dans Les Murs comme on se lancerait dans une nouvelle poétique du quotidien. Sauf que Stéphanie Braquehais nous prend la main par la deuxième personne du singulier et que dès le début on se dit : « Y a quelque chose qui cloche ». Un peu comme la chanson Coutances de Dick Annegarn. Sauf qu'ici Stéphanie Braquehais fait fondre la glace doucement, lentement, détail par détail ; puis on découvre les murs de cette narration concise qui en dit long.
Le texte est parfaitement maîtrisé tant sur le fond que la forme. On a envie d'en lire plus. Un auteur à suivre.


Une jolie chronique fleurie sur Libfly.

Commentaires