« À nous de faire le reste. »


L'Égyptienne, de Raymond Penblanc
« L'auteur nous invite à un voyage intime – presque immobile – à travers la littérature et sa quête du Poète. Entre la Gare Saint-Charles et Charleville, on suit notre guide. Il a la sagesse de celui qu'on écoute sans se poser de question. Lorsque l'homme aux béquilles et l'égyptienne apparaissent, la narration prend un autre tournant. L'histoire nous dirige alors là où la poésie n'est que plus belle. L'écrivain nous a menés exactement là où il le désirait. À nous de faire le reste. »

« La nouvelle commence comme un soliloque intérieur. Un couple est au restaurant. La femme se lâche sur les petits travers de son mari. Point de fausse route. On sent dès le début que la sincérité n'est pas laissée à la cave. L'âge a fait son temps. L'attachement est au-delà de ça. Puis l'histoire se déroule. On découvre les travers, puis les réels problèmes de chacun. Le point de vue se renverse [...] La fin est très forte, très juste et terriblement humaine. Que faire face à certaines situations qui nous dépassent ? Le lâcher prise – même celui qui peut sembler politiquement incorrect – n'est-il pas ce qu'il y a de plus long et de plus précieux à atteindre ? Un très bel ouvrage. »
Un lecteur

Raymond sera le 21 mai à Gonfaron pour la Fête du livre.
En duo avec sa fille Juliette, il lira des extraits du Petit Garçon qui voulait son histoire.

Commentaires