(* : Chaque livre a sa propre mélodie)
Toute bonne chose ayant une fin, nous voici revenus du 11e Festival européen du Premier Roman qui se déroulait du 23 au 26 mai à la Literaturhaus de Kiel (sise dans un ancien jardin botanique).
Les auteurs ont eu droit à la traditionnelle photo de groupe sur la terrasse de l'hôtel, au soleil et face à la rade où voguaient d'impressionnants paquebots. Avec, de gauche à droite et de haut en bas : Kjersti Anfinnsen, Arezu Weitholz, Agnes Szil, Sander Kollaard, Marlene Tissot, Aki Ollikainen, Zośka Papuẑanka, Florian Illichmann-Rajchl, Stefano Jorio, Stine Pilgaard et Jolanda Piniel.
Que dit le Kieler Nachrichten à propos de Mailles à l'envers ?
« C'est
particulièrement surprenant avec Mailles à l'envers de la
française Marlène Tissot. En réalité, déjà, le titre est
intraduisible. Mailles gauches ne laisse rien entendre de la
contradiction de "l'envers" (qui induit aussi une action autour). Et puis, le son des mots : "Jamais m'y
sentais en paix. Je m'y sentais en paix". La poésie pure, dans
la traduction, ne passe pas très bien. Car le mélodie de la langue
est tout autre. »
Étrange, n'est-il pas ?
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