« Charmantes
silhouettes à peine ébauchées, à peine entraperçues et déjà
disparues, évanouies dans le flux des badauds parisiens. Légères,
certes, elles n'en laissent pas moins un souvenir diffus mais
constant, comme ces notes de musique qui continuent à vous trotter
en tête longtemps après la fin de la chanson. Des notes parfois
mélancoliques, d'autres plus amères ou poétiques, d'autres enfin
irisées comme des bulles de savon. »
Voilà qui est dit, et mieux encore : bien écrit (m'enfin, la critique est signée Nadine Janssens, alors forcément...).
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