« Ça
commence dans les airs, avec des fantômes (allusion à Borgès), ça
se prolonge sur terre, dans une forêt remplie de bruits étranges,
ça se termine dans l'eau, une eau "pure et cristalline" où
Ligie, jeune ado fugueuse, achèvera sa métamorphose...
Les
phrases sont courtes et incisives. Le rythme effréné. Quelques mots
suffisent pour que l'on bascule avec bonheur (celui de la lecture),
et avec crainte (celle-là nocturne!) dans le monde magique de
l'enfance !
Un
vrai bon petit bouquin! »
C'est le moment où jamais de rappeler que Marianne Desroziers dédicacera L'Enfance crue au salon de Castillonnès, dimanche prochain.
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