Rue des sourires

Rue des Livres a fermé dimanche soir les pages du gros livre qui se dressait à l'entrée, et le moins que l'on puisse dire est que la bonne humeur a fait oublier l'absence du soleil.
Une fois de plus, nous avons tous été accueillis avec le sourire, auteurs connus ou obscurs éditeurs. Écoute, attention ne sont pas de vains mots sur ce salon. Il ne s'agit pas d'être simplement polis, de faire montre de flagornerie, mais de rappeler que les salons de province n'ont rien à envier aux plus renommés. L'engouement des organisateurs, leur professionnalisme et leur gentillesse méritent d'être soulignés ; tout comme la curiosité du public, venu nombreux, qui ne s'est pas contenté de foncer droit sur les vedettes pour leur soutirer une dédicace, mais a pris le temps de zyeuter autour, de poser beaucoup de questions et de se faire plaisir.

Retrouvailles avec les Penchants du roseau, qui accueillaient de nombreux auteurs (Carmen PennarunTisane de thym au jardin dhiver ; Padrig MoazonMémoires du cargoUne gorgée de cailloux ; Nicole Laurent-CatriceMémoire aux alouettes et Mariana Iacoblev-BarbuSel et menthe séchée).


Christian Domec


Mais il y eut aussi Mael Le Guennec





Et un stand dévasté en fin salon ! Ce qu’on appelle les risques du métier... Au point qu’il a fallu combler les trous avec des livres achetés ailleurs. Et ailleurs, c’est entre autres (et surtout) le stand de Pascal Rougé, représentant des éditions Le Temps qui passe.


Rue des livres fait un carton parc des Gayeulles, titre l’article de Ouest-France.

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