Ambiances
posées en peu de mots, solidement amarrées à une réalité
invisible – parce qu’on se refuse à la voir –, violence tour à
tour contenue ou éclatante d’instants arrachés à l’ordinaire
des jours, et ces chutes qui amènent le lecteur au vertige... Il ne
se passe rien dans Violences brèves,
ou si peu. Pourtant, on ressort de cette lecture complètement
bouleversé, secoué, révolté.
108
pages, 12 €
Sortie
officielle : le 12 mai 2015
Allez, encore une semaine.
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