À chaque Salon de l’autre LIVRE au début
de l’automne (cette année du 13 au 15 novembre), cette auberge
littéraire - au-delà du menu de ses chapitres de lecture, de ses
poèmes, de ses illustrations, de ses livres d’artistes, de ses
livres qui font réfléchir - invite les [éditeurs indépendants] à sa table pour échanger
sur les difficultés pour [eux] de poursuivre
leur rôle de passeurs.
Au
cours de cette année, [tous ont] tous entendu que la Poste a
fâché l’ensemble du monde du livre, outre les augmentations à
répétition de ses tarifs, elle impose désormais à tous les envois
de plus de 3 cm d’épaisseur le tarif colissimo. La Poste
s’est attirée les foudres des libraires et des éditeurs dont les
coûts d’expédition ont doublé de ce fait.
Le
salon offrira un badge sur le sujet à chaque visiteur du salon.
Nos
intentions, vis-à-vis de ce partenaire privilégié pour le livre
et irremplaçable qu’est devenue la Poste, sont simples : nous
voulons que la Poste revienne à sa mission de service
public.
Cela
peut sembler d’une autre époque et pourtant c’est bien présent
au cœur des besoins de notre monde.
Nos
galaxies de papiers méritent bien autant de soins qu’un transfert
de fonds par satellite dans un paradis fiscal.
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