« quand solitude et incommunicabilité nous habitent »

« Je viens d'achever la lecture de Fred Loram. Un roman sans doute atypique dans lequel l'intrigue passe au second plan pour mettre au premier une dérive « introspective » qui, je présume, a à voir avec votre propre parcours. C'est en tout cas admirablement écrit dans ce rythme haché-rapide qui évite l'enlisement « psychologique » des phrases longues. J'ai beaucoup apprécié la partie finale « après coup », espèce de synthèse écrite comme une poésie - d'où sa force - et qui délivre le personnage de Fred de ses « démons ». L'écriture comme exutoire, quand solitude et incommunicabilité nous habitent. »

Après Fred Loram, il y eut Phare intérieur, inspiré d'un spectacle. Thierry Moral n'en reste pas là, puisqu'en janvier 2017 paraîtra l'album illustré (par Bertrand Arnould), Vie de chien
À travers le regard décalé d'un chien perdu sont différentes formes de violence : le terrorisme, la violence des laissés pour compte, la violence institutionnelle, les combats de chiens, la chasse,…

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