« Ce
roman [La Mort embrasse mal] vous emmène dans une histoire simple, profonde et forte. Tout
est dit dans les premières pages. Pas de surprise ou de
rebondissement scénaristique flirtant avec l'absurde ou le
spectaculaire. Non, ici nous sommes dans l'apprentissage de la vie.
Fin d'été. Quentin découvre la 6e. Son groupe de copains va-t-il se disloquer ? Son regard croise celui de celle qui lui fera
battre son cœur, sauf qu'elle ne terminera pas l'année. Entre roman
d'adolescence et fable sur la vie, on se sent toujours familier.
L'auteur [Philippe Vourch] a le don de décrire avec soin et sans lourdeur les détails
les plus authentiques de ces situations que nous avons tous plus ou
moins vécues. La liberté à vélo, les rivalités, les peurs, les
larcins, les tentions familiales et surtout la maladie. Jamais le
livre ne joue à être autre chose que ce qu'il est : honnête,
sincère et toujours juste. Ça toucherait les ados je pense. Ce
texte apporte beaucoup au lecteur, sans didactisme, juste par le
propos de l'histoire qui continue, malgré tout. Je conseille
vivement cet ouvrage à ceux qui aiment les histoires qui suivent le
chemin de la vie, mais pas que... »
Le 18 de ce mois, Philippe sera notre invité, avec Mael Le Guennec, au Festival Rue des Livres.
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