Dans
J’aidu mal,
SandraBechtel dissèque
son quotidien en fines tranches de vie, savoureusement féroces. Elle
écrit comme elle pense, comme ça vient, sur tout, sur rien. Surtout
sur rien. Et c’est ça qui est bien.
J’ai
du mal avec le bon goût.
À
partir du moment où on a des Santiags dans le dressing on est dans
quel camp ?
✩✩✩✩✩
des
histoires qu’on voudrait sans fin
dès
le début.
✩✩✩✩✩
Le
temps que je m’organise il est déjà passé.
✩✩✩✩✩
C’est
toujours comme quand on est parti, pire en mieux.
✩✩✩✩✩
J’ai
du mal avec les idées.
Je
me fais tellement d’idées sur elles.
✩✩✩✩✩
J’ai
du mal avec les hôpitaux.
Au
moindre pépin j’y fonce, mais moins j’y touche mieux je me
porte. Comme la clope. Ou la police. Ou la vie à deux.
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