Les
portes du pénitencier
Il
existe chez Raymond Penblanc du Michel Tournier et du Franz Kafka
dans son roman ou poème en prose tant la fiction crée un contraste
avec ce qui est donné à lire dans les narrations traditionnelles.
Non seulement ici le temps s’étend mais le récit devient un
conte.
Sur le ventre de son île se croisent des destinées “dysfonctionnelles”. Mais pas que.
Sur le ventre de son île se croisent des destinées “dysfonctionnelles”. Mais pas que.
Un
narrateur est au commande de l’histoire mais il n’est pas
contraint à la fixité d’un parcours romanesque il se laisse
divaguer jusqu’à parfois à douter presque de sa propre
identité.
Mais il garde toutes les chances de redevenir quelqu’un à mesure que l’île et la colonie des pénitents où il était prisonnier vont permettre à quatre garnements de jouer les fils de l’air. Ou plutôt des souterrains…
Mais il garde toutes les chances de redevenir quelqu’un à mesure que l’île et la colonie des pénitents où il était prisonnier vont permettre à quatre garnements de jouer les fils de l’air. Ou plutôt des souterrains…
Les
crânes heurtent leur plafond mais, dans une sorte d’aérienne
assemblée, le verbe traverse la vie et les temps en ses tourbillons
poétiques.
L’auteur comme son narrateur sent ses ailes se multiplier comme les champs du possible face à un néant erroné.
L’auteur comme son narrateur sent ses ailes se multiplier comme les champs du possible face à un néant erroné.
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