« Mon ami Junger souffrent de n’être qu’un. »


Mon ami Junger se lit comme une version moderne de Jacques le Fataliste et son maître, de Diderot : multipliant les saynètes invraisemblables, avec les mêmes personnages centraux, le narrateur et [son] ami Junger, le roman fait voler en éclats les règles du genre pour imposer les siennes. Point d’action à proprement parler, mais une réflexion constante, maligne et déroutante, sur la société, ses travers et ses dérives.
De lecture plaisante, Mon ami Junger n’offre pas moins un regard faussement naïf et finement avisé sur notre monde et nos choix de vie.

Un roman de toma e, à paraître le 20 janvier 2020



Commentaires