Violaine Bérot écrit pour les femmes, et sur les femmes.
En chapitres courts, phrases courtes aussi, l'auteure peint la Sainte comme une jeune fille ordinaire, amoureuse, impétueuse, garçonne, qui rit et pleure et hurle.
Je ne sais pas vraiment si le récit de Violaine Bérot est conforme à ce qu'était réellement l'héroïne mais en tout cas elle me plaît bien, à moi, cette paysanne simple un peu dépassée par la responsabilité qui lui incombe, et par ses émotions.
C'est apparemment le premier roman de l’auteure.
Critique copiée de Babelio
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