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« Je suis parfois sans force, sans volonté aucune. Et parfois pleine de hargne, de foi immense en la vie. »

« C’est une époque révolue, comme un chapitre de roman mielleux et irréel, lu d’une traite et puis voilà, c’est terminé. »

« Mêlez-vous de ce qui vous regarde »

« ... elle avait pris une poignée de terre dans sa main et l’avait mangée lentement, par petites bouchées... »

« De la guerre il y a deux choses que l’on ne peut pas effacer de sa mémoire : les cris et l’odeur. »

« Et tu écrivis qu’elles furent bonnes ces petites cigarettes fumées sur un bout de trottoir... »

« Toujours regarder vers le haut ! Toujours rester attentif aux signes du destin ! »

« L’endroit idéal, depuis des générations, pour traîner son spleen et son mal-être. »

« J’ai besoin de violence, de sueur et de sang. »

« Et tu te fais deux promesses, deux promesses de petite fille, que tu oublieras forcément »

C'est vous qui le dites... à propos de La toute petite fille monstre

Coup sur coup

« La coiffure, c’était toute une histoire pour Ligie qui avait les cheveux longs, très longs, interminablement longs. »

Court toujours !

« À quelle table s’asseoir pour rassasier ses appétits de beauté et de transcendance ? »

« Je ne connaissais rien de la pleine nuit. »

« Béatrice, elle a la voix des trains qui partent tard le soir vers Saint-Lazare, ceux qui se transforment en filet d’argent passé la dernière maison »

Brouillon de culture

« Accroché au comptoir comme un naufragé au flanc de son radeau, il recherche la substance essentielle, selon lui, à toute inspiration : l’authenticité. »

« La peur diffuse dans tout le corps. L’excitation concentrée au creux du ventre. »